Echantillonnage des eaux résiduaires : une comparaison inter-laboratoires pour évaluer la performance des organismes de prélèvement 19 septembre 2025 L’Ineris en collaboration avec le BIPEA (association de plus de 4000 laboratoires membres répartis dans 130 pays), a organisé une comparaison inter-laboratoires (CIL) « Mesures des paramètres physico-chimiques sur site et échantillonnage automatique dans les eaux résiduaires ». Cette comparaison a eu lieu les 9 et 10 septembre, à la station de traitement des eaux usées de Montataire (Oise). Il s’agit de la quatrième CIL que l’Institut organise sous ce format. Les CIL proposées pour évaluer les performances des laboratoires d’analyse des eaux résiduaires sont courantes. En revanche, très peu d’exercices sont proposés aux organismes en charge des prélèvements, étape tout aussi importante dans la fiabilité des données mesurées. L’objectif de la comparaison organisée début septembre par l’Ineris était précisément de répondre à ce besoin. Contenu du programme d’essaisLe programme des essais s’est basé sur le guide "Cahier des charges type pour la réalisation d’un essai d’aptitude « mesures des paramètres physico-chimiques sur site » et d’un essai d’aptitude « échantillonnage d’eaux résiduaires »", élaboré dans le cadre des travaux d’Aquaref.L’évaluation des performances des participants a porté sur les mesurages instantanés de paramètres physico-chimiques et sur la mise en œuvre de prélèvement sur 24h, dont l’analyse a été effectué en différé par un laboratoire commun sélectionné pour l’exercice, dans les eaux d’entrée et de sortie de la station de traitement des eaux usées de Montataire.Au-delà de l’évaluation de la qualité des échantillonnages et des mesures, la comparaison a reposé sur l’observation de la mise en œuvre des essais en regard des référentiels applicables, une application inadaptée de ceux-ci pouvant être à l’origine de biais de mesure. Ces observations, réalisées dans le cadre d’Aquaref, peuvent aider les participants à améliorer, voire corriger, leurs pratiques d’échantillonnage. En images
Echantillonnage des eaux résiduaires : une comparaison inter-laboratoires pour évaluer la performance des organismes de prélèvement 19 septembre 2025 L’Ineris en collaboration avec le BIPEA (association de plus de 4000 laboratoires membres répartis dans 130 pays), a organisé une comparaison inter-laboratoires (CIL) « Mesures des paramètres physico-chimiques sur site et échantillonnage automatique dans les eaux résiduaires ». Cette comparaison a eu lieu les 9 et 10 septembre, à la station de traitement des eaux usées de Montataire (Oise). Il s’agit de la quatrième CIL que l’Institut organise sous ce format. Les CIL proposées pour évaluer les performances des laboratoires d’analyse des eaux résiduaires sont courantes. En revanche, très peu d’exercices sont proposés aux organismes en charge des prélèvements, étape tout aussi importante dans la fiabilité des données mesurées. L’objectif de la comparaison organisée début septembre par l’Ineris était précisément de répondre à ce besoin. Contenu du programme d’essaisLe programme des essais s’est basé sur le guide "Cahier des charges type pour la réalisation d’un essai d’aptitude « mesures des paramètres physico-chimiques sur site » et d’un essai d’aptitude « échantillonnage d’eaux résiduaires »", élaboré dans le cadre des travaux d’Aquaref.L’évaluation des performances des participants a porté sur les mesurages instantanés de paramètres physico-chimiques et sur la mise en œuvre de prélèvement sur 24h, dont l’analyse a été effectué en différé par un laboratoire commun sélectionné pour l’exercice, dans les eaux d’entrée et de sortie de la station de traitement des eaux usées de Montataire.Au-delà de l’évaluation de la qualité des échantillonnages et des mesures, la comparaison a reposé sur l’observation de la mise en œuvre des essais en regard des référentiels applicables, une application inadaptée de ceux-ci pouvant être à l’origine de biais de mesure. Ces observations, réalisées dans le cadre d’Aquaref, peuvent aider les participants à améliorer, voire corriger, leurs pratiques d’échantillonnage. En images
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