Nos axes de recherche La recherche à l'Ineris est financée sur une subvention de recherche accordée par l’État (l’Ineris est opérateur de l’État sur plusieurs programmes de la loi organique aux lois de finance), par des appels à projets de recherche européens (programmes cadre de recherche et développement- PCRD), nationaux (ANR, ADEME, ANSES…) et régionaux (notamment Hauts-de-France) ainsi que par des contrats de recherche partenariale avec des entreprises. La recherche financée sur fonds publics est structurée autour d’axes faisant appel à des compétences scientifiques variées. Les axes de recherche sont évalués par le Conseil scientifique et les commissions scientifiques spécialisées, en suivant les recommandations du Haut Conseil de l'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur (HCERES). Les travaux se traduisent par des soutenances, des thèses et des Habilitations à diriger des recherches (HDR). Leurs résultats se traduisent en particulier par le développement des méthodologies et des moyens d’analyse de risques. Ils font l’objet de publications dans des revues internationales et lors de congrès. L’activité scientifique de l’Institut s’appuie sur de nombreuses plateformes expérimentales et de modélisation, certaines uniques en France et à l’étranger. Cette activité est menée au sein d’un vaste réseau de partenaires avec lequel l’Institut développe d’étroites collaborations. Risques accidentels L'axe "Substance et procédés" vise à sécuriser l’innovation industrielle sur le plan des procédés, des substances et des produits. L'axe "Phénomènes dangereux et risques des structures" a pour objectif de maîtriser la sécurité des nouvelles technologies de l’énergie et pour l’économie circulaire L'axe "Analyse et gestion intégrée des risques" a pour but d'améliorer la prise en compte du facteur humain et organisationnel dans la prévention des accidents majeurs Risques chroniques L'axe "Métrologie" vise à caractériser les milieux et contaminants environnementaux (l’air, l’eau, le sol, le biote), ainsi que l’exposition à l’homme. L’axe "Chimie de l’environnement" vise à comprendre les interactions, parfois complexes, des polluants dans les milieux, influençant la toxicité et l'écotoxicité des compartiments environnementaux. L’axe "Modélisation de la qualité de l’air" étudie le transport des polluants dans l’air, impactant la qualité de l’air. L’axe "Mobilité des polluants" étudie le transports des polluants dans les autres milieux environnants. L’axe "Toxicologie et Écotoxicologie" vise à étudier les effets de ces polluants sur l’homme et l’environnement. L’axe "Analyse socio-économique" a vocation à évaluer les impacts économiques des actions (politiques ou technologiques) qui visent à modifier l’exposition à ces contaminants ou les substituer par d’autres composés moins nocifs. L’axe "Risques sanitaires" a pour but la représentation spatiale (multi media-multi exposition) des risques sanitaires dans une démarche intégrative du continuum source-vecteur-cible. Risques liés au sol et au sous-sol L’axe "Transition Energétique et utilisation du sous-sol" (TESS), vise la maîtrise des risques liés aux stockages souterrains (hydrocarbures, déchets, gaz carbolique, énergie) et à l’exploration-exploitation des ressources minérales ou énergétiques (mines, hydrocarbures, géothermie, gazéification du charbon). L’axe "Compréhension des processus couplés conduisant à la Rupture ou à la Dissolution des roches" (CORDIS) étudie les mécanismes de déformation, de fissuration et de dissolution des roches sous l’effet des sollicitations thermo-hydromécaniques et géochimiques. Il développe des modèles rhéologiques (loi de comportement) et numériques, ainsi que des méthodes et moyens d’auscultation et de surveillance des sites géologiques et des ouvrages souterrains. L’axe "Evaluation et Réduction de la Vulnérabilité des biens exposés aux Aléas Naturels et miniers" (EREVAN) étudie la vulnérabilité des bâtiments, des ouvrages linéaires (digues, canalisations), des infrastructures, sous l’effet des mouvements de terrains (affaissements, effondrement, retrait-gonflement des sols argileux).
Nos axes de recherche La recherche à l'Ineris est financée sur une subvention de recherche accordée par l’État (l’Ineris est opérateur de l’État sur plusieurs programmes de la loi organique aux lois de finance), par des appels à projets de recherche européens (programmes cadre de recherche et développement- PCRD), nationaux (ANR, ADEME, ANSES…) et régionaux (notamment Hauts-de-France) ainsi que par des contrats de recherche partenariale avec des entreprises. La recherche financée sur fonds publics est structurée autour d’axes faisant appel à des compétences scientifiques variées. Les axes de recherche sont évalués par le Conseil scientifique et les commissions scientifiques spécialisées, en suivant les recommandations du Haut Conseil de l'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur (HCERES). Les travaux se traduisent par des soutenances, des thèses et des Habilitations à diriger des recherches (HDR). Leurs résultats se traduisent en particulier par le développement des méthodologies et des moyens d’analyse de risques. Ils font l’objet de publications dans des revues internationales et lors de congrès. L’activité scientifique de l’Institut s’appuie sur de nombreuses plateformes expérimentales et de modélisation, certaines uniques en France et à l’étranger. Cette activité est menée au sein d’un vaste réseau de partenaires avec lequel l’Institut développe d’étroites collaborations. Risques accidentels L'axe "Substance et procédés" vise à sécuriser l’innovation industrielle sur le plan des procédés, des substances et des produits. L'axe "Phénomènes dangereux et risques des structures" a pour objectif de maîtriser la sécurité des nouvelles technologies de l’énergie et pour l’économie circulaire L'axe "Analyse et gestion intégrée des risques" a pour but d'améliorer la prise en compte du facteur humain et organisationnel dans la prévention des accidents majeurs Risques chroniques L'axe "Métrologie" vise à caractériser les milieux et contaminants environnementaux (l’air, l’eau, le sol, le biote), ainsi que l’exposition à l’homme. L’axe "Chimie de l’environnement" vise à comprendre les interactions, parfois complexes, des polluants dans les milieux, influençant la toxicité et l'écotoxicité des compartiments environnementaux. L’axe "Modélisation de la qualité de l’air" étudie le transport des polluants dans l’air, impactant la qualité de l’air. L’axe "Mobilité des polluants" étudie le transports des polluants dans les autres milieux environnants. L’axe "Toxicologie et Écotoxicologie" vise à étudier les effets de ces polluants sur l’homme et l’environnement. L’axe "Analyse socio-économique" a vocation à évaluer les impacts économiques des actions (politiques ou technologiques) qui visent à modifier l’exposition à ces contaminants ou les substituer par d’autres composés moins nocifs. L’axe "Risques sanitaires" a pour but la représentation spatiale (multi media-multi exposition) des risques sanitaires dans une démarche intégrative du continuum source-vecteur-cible. Risques liés au sol et au sous-sol L’axe "Transition Energétique et utilisation du sous-sol" (TESS), vise la maîtrise des risques liés aux stockages souterrains (hydrocarbures, déchets, gaz carbolique, énergie) et à l’exploration-exploitation des ressources minérales ou énergétiques (mines, hydrocarbures, géothermie, gazéification du charbon). L’axe "Compréhension des processus couplés conduisant à la Rupture ou à la Dissolution des roches" (CORDIS) étudie les mécanismes de déformation, de fissuration et de dissolution des roches sous l’effet des sollicitations thermo-hydromécaniques et géochimiques. Il développe des modèles rhéologiques (loi de comportement) et numériques, ainsi que des méthodes et moyens d’auscultation et de surveillance des sites géologiques et des ouvrages souterrains. L’axe "Evaluation et Réduction de la Vulnérabilité des biens exposés aux Aléas Naturels et miniers" (EREVAN) étudie la vulnérabilité des bâtiments, des ouvrages linéaires (digues, canalisations), des infrastructures, sous l’effet des mouvements de terrains (affaissements, effondrement, retrait-gonflement des sols argileux).