Incendie de Notre-Dame : le rapport de l’Ineris est paru 27 novembre 2019 En lien avec l’Agence régionale de santé Ile-de-France, l’Ineris a réalisé une simulation de la dispersion de particules de plomb dans l’air, à la suite de l’incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris, survenu le 15 avril 2019. Les équipes spécialistes de l’incendie et de la qualité de l’air de l’Ineris ont réalisé une simulation de la dispersion dans l’air du panache de fumées de l’incendie de Notre Dame, et des dépôts de monoxyde de plomb qui ont pu retomber en surface. Cette simulation vise à fournir une estimation de la répartition géographique des dépôts de plomb, dans un périmètre d’1 à 50 km de distance du foyer d’incendie. Cette approche scientifique, de type « simulation de pollution atmosphérique », ne prend pas en compte les fortes émissions de plomb au niveau du sol provoquées par l’effondrement des structures bâtimentaires dans l’incendie, et n’intègre donc pas les dépôts aux alentours immédiats de Notre Dame, qui ont fait l’objet des premières campagnes de mesure menées par l’ARS. Pour pallier les incertitudes importantes quant aux quantités de plomb dispersées et à la granulométrie (i.e. la répartition en taille) des particules, plusieurs scénarios de retombées ont été étudiés pour disposer de la meilleure représentation possible du phénomène. Compte tenu de ces mêmes incertitudes, les résultats sont présentés, sur les cartes, en indicateurs relatifs (niveaux de quantités déposées exprimés en pourcentage du niveau maximal simulé). Les cartes n’expriment pas de résultats en valeurs absolues, qu’il s’agisse des concentrations atmosphériques ou des dépôts. > Consulter le rapport
Incendie de Notre-Dame : le rapport de l’Ineris est paru 27 novembre 2019 En lien avec l’Agence régionale de santé Ile-de-France, l’Ineris a réalisé une simulation de la dispersion de particules de plomb dans l’air, à la suite de l’incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris, survenu le 15 avril 2019. Les équipes spécialistes de l’incendie et de la qualité de l’air de l’Ineris ont réalisé une simulation de la dispersion dans l’air du panache de fumées de l’incendie de Notre Dame, et des dépôts de monoxyde de plomb qui ont pu retomber en surface. Cette simulation vise à fournir une estimation de la répartition géographique des dépôts de plomb, dans un périmètre d’1 à 50 km de distance du foyer d’incendie. Cette approche scientifique, de type « simulation de pollution atmosphérique », ne prend pas en compte les fortes émissions de plomb au niveau du sol provoquées par l’effondrement des structures bâtimentaires dans l’incendie, et n’intègre donc pas les dépôts aux alentours immédiats de Notre Dame, qui ont fait l’objet des premières campagnes de mesure menées par l’ARS. Pour pallier les incertitudes importantes quant aux quantités de plomb dispersées et à la granulométrie (i.e. la répartition en taille) des particules, plusieurs scénarios de retombées ont été étudiés pour disposer de la meilleure représentation possible du phénomène. Compte tenu de ces mêmes incertitudes, les résultats sont présentés, sur les cartes, en indicateurs relatifs (niveaux de quantités déposées exprimés en pourcentage du niveau maximal simulé). Les cartes n’expriment pas de résultats en valeurs absolues, qu’il s’agisse des concentrations atmosphériques ou des dépôts. > Consulter le rapport
Augustin Colette, spécialiste en modélisation atmosphérique à l’Ineris, nommé auteur pour les prochains travaux du Giec 11 décembre 2024