Projet BIOSURVEILLANCE « Proposition d’un pilote basé sur l’utilisation de biomarqueurs pour un appui à la surveillance de la qualité des masses d’eau du district Seine‐Normandie » Rapports d'appui / guides .pdf 22 novembre 2023 Description L’Ineris a participé au projet BIOSURVEILLANCE, qui a proposé un diagnostic écotoxique de masses d’eau, à l’échelle du continuum bassin versant – estuaire – littoral du district Seine Normandie. Durant 2 campagnes de biosurveillance active (automne 2020 et 2021), 6 stations sur les 27 stations des continuum Seine, Orne et Vire ont été suivies grâce à des encagements d’épinoches à trois-épines. Deux biomarqueurs ont été sélectionnés pour l’étude : les dommages primaires à l’ADN qui s’intéressent aux impacts génotoxiques via le test des comètes, et l’activité de phagocytose qui est un processus de défense cellulaire. Les différents résultats ont été valorisés sous forme d’une carte interactive sur le site de l’observatoire de l’axe Seine. Le retour d’expérience a démontré l’apport de la biosurveillance active pour le suivi de la qualité des masses d’eau. Les résultats rendent compte de niveaux d’effets biologiques globalement très cohérents avec l’état chimique et écologique de la masse d’eau considérée, permettant d’en renforcer le diagnostic environnemental. > Le projet : https://www.seine-aval.fr/projet/biosurveillance/ Consulter https://www.seine-aval.fr//wp-content/uploads/2023/09/BIOSURVEILLANCE-2023-rapp…
Projet BIOSURVEILLANCE « Proposition d’un pilote basé sur l’utilisation de biomarqueurs pour un appui à la surveillance de la qualité des masses d’eau du district Seine‐Normandie » Rapports d'appui / guides .pdf 22 novembre 2023 Description L’Ineris a participé au projet BIOSURVEILLANCE, qui a proposé un diagnostic écotoxique de masses d’eau, à l’échelle du continuum bassin versant – estuaire – littoral du district Seine Normandie. Durant 2 campagnes de biosurveillance active (automne 2020 et 2021), 6 stations sur les 27 stations des continuum Seine, Orne et Vire ont été suivies grâce à des encagements d’épinoches à trois-épines. Deux biomarqueurs ont été sélectionnés pour l’étude : les dommages primaires à l’ADN qui s’intéressent aux impacts génotoxiques via le test des comètes, et l’activité de phagocytose qui est un processus de défense cellulaire. Les différents résultats ont été valorisés sous forme d’une carte interactive sur le site de l’observatoire de l’axe Seine. Le retour d’expérience a démontré l’apport de la biosurveillance active pour le suivi de la qualité des masses d’eau. Les résultats rendent compte de niveaux d’effets biologiques globalement très cohérents avec l’état chimique et écologique de la masse d’eau considérée, permettant d’en renforcer le diagnostic environnemental. > Le projet : https://www.seine-aval.fr/projet/biosurveillance/ Consulter https://www.seine-aval.fr//wp-content/uploads/2023/09/BIOSURVEILLANCE-2023-rapp…