Utilisation de désodorisants non-combustibles et qualité de l'air intérieur : une étude sur les enjeux sanitaires, les substances d'intérêt et bonnes pratiques

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Les désodorisants non-combustibles (vaporisateurs, gels diffuseurs, mèches ou bâtonnets imbibés de parfum liquide, diffuseurs automatiques…), sont des produits répandus dans notre quotidien et leur utilisation génère des émissions de substances volatiles dans l’air intérieur, dont certaines dangereuses ce qui justifie que les risques associés soient évalués .

L'Ineris publie une étude qui a pour objectif de :

  • caractériser les enjeux pour la santé liés à l’utilisation de désodorisants non-combustibles ;
  • identifier les substances volatiles préoccupantes ou non (parmi environ 100 substances mesurées) ;
  • sur la base des résultats obtenus, le cas échéant, recommander des usages permettant de diminuer les expositions à enjeu.

Cette étude sur 25 produits, s’est appuyée sur une déclinaison de la démarche d’évaluation des risques sanitaires (ERS) et s’est alimentée de données d’émissions en substances volatiles mesurées en laboratoire (CSTB, 2017). Par ailleurs, elle complète une étude de 2015 de l’Ineris, portant sur les encens, ainsi que l’étude issue de la collaboration CSTB-INERIS-LCE (EBENE - Exposition aux polluants émis par les bougies et les encens dans les environnements intérieurs), publiée par l’ADEME en 2017 et portant sur les désodorisants combustibles en général : encens, bougies parfumées, Lampe Berger…

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