Sources naturelles Les phénomènes naturels tels que les éruptions volcaniques, les brumes de sable, les incendies de forêts, etc. sont à l’origine d’émissions de gaz et de particules dans l’atmosphère. L’Ineris étudie l’influence de ces phénomènes naturels dans la qualité de l’air, grâce notamment à ses modèles numériques qui permettent d’identifier et de suivre les panaches de ces émissions naturelles. Les poussières désertiques L’érosion des sols provoque de larges panaches de poussières désertiques. Sous l’influence des vents transatlantiques, les panaches sahariens constituent une source de pollution atmosphérique importante aux Antilles. Ce type de cartographie de qualité de l’air est réalisée avec le modèle numérique de chimie transport CHIMERE, co-développé par l’Ineris et le CNRS. La précision inédite de ces simulations, d’une résolution de 10 km sur l’ensemble de l’hémisphère nord, a été obtenue grâce au supercalculateur COBALT du Centre de calcul recherche et technologie (CCRT) hébergé au CEA. Elles sont utilisées pour guider l’amélioration de la qualité de l’air et prévoir les pics de pollution. On les retrouve ainsi sur la plateforme nationale de prévision de la qualité de l’air PREVAIR développée et gérée par l’Ineris. Carte de prévision PREV’AIR de l’arrivé d’un panache de dust (sable Saharien) sur la zone caraïbe, le 9 juillet 2014. La qualité de l’air racontée par la modélisation
Sources naturelles Les phénomènes naturels tels que les éruptions volcaniques, les brumes de sable, les incendies de forêts, etc. sont à l’origine d’émissions de gaz et de particules dans l’atmosphère. L’Ineris étudie l’influence de ces phénomènes naturels dans la qualité de l’air, grâce notamment à ses modèles numériques qui permettent d’identifier et de suivre les panaches de ces émissions naturelles. Les poussières désertiques L’érosion des sols provoque de larges panaches de poussières désertiques. Sous l’influence des vents transatlantiques, les panaches sahariens constituent une source de pollution atmosphérique importante aux Antilles. Ce type de cartographie de qualité de l’air est réalisée avec le modèle numérique de chimie transport CHIMERE, co-développé par l’Ineris et le CNRS. La précision inédite de ces simulations, d’une résolution de 10 km sur l’ensemble de l’hémisphère nord, a été obtenue grâce au supercalculateur COBALT du Centre de calcul recherche et technologie (CCRT) hébergé au CEA. Elles sont utilisées pour guider l’amélioration de la qualité de l’air et prévoir les pics de pollution. On les retrouve ainsi sur la plateforme nationale de prévision de la qualité de l’air PREVAIR développée et gérée par l’Ineris. Carte de prévision PREV’AIR de l’arrivé d’un panache de dust (sable Saharien) sur la zone caraïbe, le 9 juillet 2014. La qualité de l’air racontée par la modélisation