Gestion des écosystèmes aquatiques transfrontaliers de la Meuse : lancement du projet Orion 7 janvier 2025 Le 11 décembre 2024, se tenait dans les locaux de l’Université de Reims-Champagne-Ardenne l’évènement marquant le lancement du projet européen Orion, dont l’Ineris est partenaire. Consacré à la modélisation des dynamiques de pression microbiologiques et écotoxicologiques des masses d’eau transfrontalières à l’aide d’une surveillance active d’espèces sentinelles et des modèles mathématiques, ce projet bénéficie d’un financement dans le cadre du programme Interreg France-Wallonie-Vlaanderen 2021-2027. Orion propose une vision holistique des dynamiques de pressions sur les écosystèmes aquatiques mosans en considérant les risques chimiques, microbiologiques et écotoxiques. Le terrain de jeu du projet n’est autre que la Meuse, fleuve qui traverse la frontière de la France vers la Belgique, et dont le parcours est ponctué de nombreuses grandes agglomérations (Verdun, Namur, Liège, Maastricht, Rotterdam…). Ce projet, en continuité avec un premier projet dénommé DIADeM, vise à améliorer la gestion de l’eau dans le val de Meuse tout en préservant les écosystèmes. A cette fin, le projet Orion s’articule autour de quatre grands objectifs : - mener une étude spatio-temporelle et permettant de modéliser les pressions et les impacts ; - fournir un diagnostic microbiologique et chimique sur la qualité des masses d’eau ; - évaluer l’écotoxicité des masses d’eau par l’intermédiaire de différentes espèces sentinelles ; - définir des scénarios prospectifs intégrant, pour un territoire concerné, des stratégies d’adaptation au changement climatique et la prise en compte des capacités adaptative de la biodiversité. L’Ineris partenaire du projet Le projet Orion regroupe 7 partenaires et est coordonné par la composante URCA de l’UMR-I 02 SEBIO, unité mixte de recherche sur les Stress Environnementaux et la BIOsurveillance des milieux aquatiques, commune à l’Ineris, à l’Université Reims Champagne Ardenne (URCA) et à l’Université Le Havre Normandie (ULHN). Il associe également des partenaires tels que l'Université de Namur (Belgique), l'Université de Liège (Belgique), le Centre d'Expertise en Virologie des Aliments (ACTALIA, France), L'Institut Scientifique de Service Public (ISSeP, Belgique) et E-BIOM (Belgique). Les équipes de l’Ineris évalueront l’impact des contaminations chimiques sur l’état de santé (réponse immunitaire et capacité de reproduction) d’une espèce de poisson, l’épinoche à trois-épines, et relieront les effets observés aux impacts populationnels (outils mathématiques).
Gestion des écosystèmes aquatiques transfrontaliers de la Meuse : lancement du projet Orion 7 janvier 2025 Le 11 décembre 2024, se tenait dans les locaux de l’Université de Reims-Champagne-Ardenne l’évènement marquant le lancement du projet européen Orion, dont l’Ineris est partenaire. Consacré à la modélisation des dynamiques de pression microbiologiques et écotoxicologiques des masses d’eau transfrontalières à l’aide d’une surveillance active d’espèces sentinelles et des modèles mathématiques, ce projet bénéficie d’un financement dans le cadre du programme Interreg France-Wallonie-Vlaanderen 2021-2027. Orion propose une vision holistique des dynamiques de pressions sur les écosystèmes aquatiques mosans en considérant les risques chimiques, microbiologiques et écotoxiques. Le terrain de jeu du projet n’est autre que la Meuse, fleuve qui traverse la frontière de la France vers la Belgique, et dont le parcours est ponctué de nombreuses grandes agglomérations (Verdun, Namur, Liège, Maastricht, Rotterdam…). Ce projet, en continuité avec un premier projet dénommé DIADeM, vise à améliorer la gestion de l’eau dans le val de Meuse tout en préservant les écosystèmes. A cette fin, le projet Orion s’articule autour de quatre grands objectifs : - mener une étude spatio-temporelle et permettant de modéliser les pressions et les impacts ; - fournir un diagnostic microbiologique et chimique sur la qualité des masses d’eau ; - évaluer l’écotoxicité des masses d’eau par l’intermédiaire de différentes espèces sentinelles ; - définir des scénarios prospectifs intégrant, pour un territoire concerné, des stratégies d’adaptation au changement climatique et la prise en compte des capacités adaptative de la biodiversité. L’Ineris partenaire du projet Le projet Orion regroupe 7 partenaires et est coordonné par la composante URCA de l’UMR-I 02 SEBIO, unité mixte de recherche sur les Stress Environnementaux et la BIOsurveillance des milieux aquatiques, commune à l’Ineris, à l’Université Reims Champagne Ardenne (URCA) et à l’Université Le Havre Normandie (ULHN). Il associe également des partenaires tels que l'Université de Namur (Belgique), l'Université de Liège (Belgique), le Centre d'Expertise en Virologie des Aliments (ACTALIA, France), L'Institut Scientifique de Service Public (ISSeP, Belgique) et E-BIOM (Belgique). Les équipes de l’Ineris évalueront l’impact des contaminations chimiques sur l’état de santé (réponse immunitaire et capacité de reproduction) d’une espèce de poisson, l’épinoche à trois-épines, et relieront les effets observés aux impacts populationnels (outils mathématiques).
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